L'origine de Baghu
Mon histoire, l’origine de Baghu

Depuis l’adolescence, j’ai beaucoup voyagé : pour apprendre les langues, découvrir d’autres cultures, mais aussi pour m’engager dans des volontariats. Ces expériences m’ont ouvert les yeux sur ce qui me passionne profondément : les rencontres humaines, l’artisanat et l’histoire que portent les objets.
J’ai commencé par importer de l’artisanat d’Asie pour le revendre en Belgique. Rapidement, je me suis rendue compte que je voulais aller plus loin : comprendre qui se cache derrière chaque création, visiter les ateliers, donner de la visibilité au travail artisanal. Cette quête de sens m’a amenée à créer un tiers-lieu dédié à l’artisanat et aux ateliers créatifs, un projet qui m’a permis d'être en cohérence avec mes valeurs… jusqu’à ce que la crise du Covid m’oblige à fermer.
Devenue maman, j’ai mis l’entrepreneuriat de côté, mais l’envie de créer est revenue. Avec une différence majeure : je ne voulais plus utiliser de matières premières neuves. La solution s’est imposée à moi le jour où je suis tombée sur une annonce proposant des chutes de toile. Pourquoi produire plus, quand il existe déjà tant de matières à revaloriser ?
C’est ainsi qu’est né Baghu : l’alliance entre mon goût pour la création manuelle, mon engagement pour l’économie circulaire et ma volonté de proposer des sacs durables, robustes et porteurs d’histoire.
Chaque sac Baghu est plus qu’un simple accessoire : c’est un morceau de matière sauvé du gaspillage, transformé avec soin, et pensé pour vous accompagner longtemps.
Lily